Delphine Wespiser a rejoint l’équipe de TPMP en 2018, après plusieurs passages remarqués à la télévision. Son arrivée a coïncidé avec une hausse de l’audience sur certaines séquences de l’émission.
Les chiffres de sa rémunération ont été évoqués à plusieurs reprises, suscitant des réactions contrastées sur les réseaux sociaux et parmi les chroniqueurs. Son rôle au sein de TPMP a évolué au fil des saisons, passant de simple intervenante à figure récurrente, ce qui a modifié les modalités de sa présence et ses conditions salariales.
Roger Erhart : du parcours singulier à la notoriété
Né à Mulhouse le 23 novembre 1965, Roger Erhart n’a jamais emprunté la voie toute tracée. Sa trajectoire intrigue, dérange parfois, mais ne laisse pas indifférent. Sur les bancs de l’université de Lausanne, il s’initie à la gestion et à la finance, loin de toute effervescence médiatique. Pourtant, ses débuts professionnels détonnent : ex-mannequin, puis strip-teaseur, il traverse sans complexe les univers de la nuit avant de bifurquer, avec une détermination remarquable, vers le secteur des affaires.
De la Suisse à la France, son nom circule dans les milieux économiques. Diplômé, il rejoint la Banque Privée Genève, où il affine ses compétences en placements et gestion de fortune. Cette expérience helvétique s’avère décisive : Roger Erhart y façonne une stratégie de diversification, qui deviendra la colonne vertébrale de son parcours.
À Mulhouse, il s’impose comme un acteur local discret mais respecté. Entrepreneur, président, gérant, propriétaire : les rôles s’enchaînent. Son goût pour la discrétion contraste avec la reconnaissance croissante dont il bénéficie, alimentée par des initiatives reconnues dans l’économie et la formation professionnelle. Erhart multiplie les projets, tisse des liens dans la communauté, met l’accent sur la transmission des savoir-faire. Loin des projecteurs, il préfère l’action concrète, ce qui forge sa réputation en France et au-delà.
Quelles sont les sources de revenus qui composent sa fortune ?
À Mulhouse, le nom de Roger Erhart s’affiche à la tête de plusieurs sociétés. Son patrimoine repose sur une stratégie de diversification, avec une présence dans des secteurs variés. Voici les principales structures qui composent ce paysage économique :
- La Prod : fondée en 2018, cette entreprise s’inscrit dans le secteur des débits de boissons. Roger Erhart en est le président, avec un capital investi de 10 000 €. Située au 31 rue Kléber, elle illustre l’ancrage local voulu par l’entrepreneur, où affaires riment avec convivialité.
- SARL JET LAG : installée au 7 rue du Raisin, toujours à Mulhouse, cette société le voit endosser le rôle de gérant. Même secteur, logique de complémentarité, capital de 100 €. Ici, pas de démesure, mais une multiplication de relais financiers.
- DAFAROGE : centrée sur les activités des sièges sociaux (34 rue de la Meurthe), Erhart en assure la présidence. Gestion administrative et coordination des intérêts économiques dominent, pour un capital de 10 000 €.
- LA CANOPEE : à Magstatt-le-Bas, cette société, spécialisée dans la location de terrains et biens immobiliers, appartient à Roger Erhart, avec un capital de 1 000 €. L’immobilier vient compléter l’éventail de ses investissements.
L’ensemble de ces sociétés ne résume pas la richesse de Roger Erhart à une simple addition de chiffres. Son patrimoine s’appuie sur une combinaison réfléchie d’actifs, mêlant sociétés commerciales, immobilier et gestion financière. Cette stratégie, élaborée loin du tumulte médiatique, relève d’une volonté de construire un ensemble solide, où diversité des sources de revenus et ancrage local font la différence.
Salaires, patrimoine et chiffres clés : ce que l’on sait vraiment
Aujourd’hui, Roger Erhart figure parmi les figures discrètes mais influentes de l’économie mulhousienne. Son patrimoine fait l’objet de nombreux commentaires. Les estimations oscillent : certains avancent plus de 2 millions de dollars, d’autres évoquent plutôt une fourchette de 50 à 70 millions d’euros. Un tel écart s’explique par la structure complexe de ses sociétés et la confidentialité qui entoure ses montages financiers.
Le montant exact de son salaire, issu de ses mandats de président ou gérant, n’a jamais été dévoilé. Dans l’univers des holdings régionales, la discrétion prévaut, surtout pour ceux qui privilégient la stabilité à l’exposition publique. L’examen des comptes publiés de La Prod, SARL JET LAG, DAFAROGE ou LA CANOPEE révèle des capitaux sociaux relativement modestes, mais laisse entrevoir un système où chaque entité occupe une place précise. Ces structures, additionnées à ses investissements immobiliers, forment l’ossature de sa fortune.
Chiffres clés
Pour mieux cerner l’ampleur de son patrimoine, quelques chiffres circulent régulièrement :
- Estimation basse de la fortune : 2 millions de dollars
- Estimation haute : 50 à 70 millions d’euros
- Capitaux sociaux cumulés (sociétés connues) : 21 100 €
L’absence d’informations précises sur ses revenus n’a fait qu’entretenir le mystère. Roger Erhart, fidèle à sa ligne de conduite, préfère le poids des actifs à la lumière des projecteurs.
Polémiques et réactions autour de sa réussite financière
Les histoires atypiques dérangent parfois le confort des habitudes. La fortune de Roger Erhart n’y échappe pas. Elle suscite autant de méfiance que de fascination, rarement l’indifférence. Ce natif de Mulhouse, passé du mannequinat à la banque privée, attire l’attention par sa réserve autant que par l’ampleur de ses possessions. Hors des grandes métropoles, sa réussite suscite localement des commentaires tranchés et des discussions animées, oscillant entre estime pour l’autodidacte et questionnements sur sa place dans le tissu social.
La relation entre Roger Erhart et Delphine Wespiser, ex-Miss France devenue directrice générale de LA CANOPEE et chroniqueuse à TPMP, a jeté un éclairage inédit sur l’entrepreneur. L’exposition médiatique de Delphine a propulsé Roger Erhart au cœur de nouvelles conversations, tant sur les réseaux sociaux qu’au sein de la sphère économique mulhousienne. Certains y voient l’alliance de l’influence et du charisme, d’autres estiment que cette réussite est le fruit d’une stratégie construite avec patience et lucidité.
Sur le plateau de TPMP ou dans le quotidien mulhousien, le parcours de Roger Erhart nourrit de multiples polémiques et sert d’exemple à plus d’un titre. Pour certains, sa capacité à diversifier ses activités, de La Prod à LA CANOPEE, et son engagement dans la formation sont à saluer. D’autres s’interrogent sur la concentration des leviers économiques entre peu de mains et sur la porosité possible entre intérêts privés et reconnaissance publique. Cette controverse, loin de s’éteindre, relance sans cesse le débat sur la place et le rôle des entrepreneurs dans la société française.