Contrairement à l’assurance automobile, le confinement imposé en 2020 n’a pas eu d’incidence importante sur la perte de biens et les contrats d’assurance accidents.
De plus, la présence accrue des souscripteurs dans leur logement a entraîné de nouvelles plaintes et une usure accrue des meubles et des appareils électroménagers. Les assureurs du logement n’ont donc pas à répercuter les conséquences de l’épidémie sur une éventuelle réduction de leurs taux.
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Au contraire, il semble que, selon une étude du cabinet de conseil Faits and Chiffres, nous nous dirigeons vers une hausse généralisée des prix de l’immobilier et de l’assurance victime, de l’ordre de 1,5 à 2% .
Cette augmentation peut être justifiée par plusieurs facteurs, notamment :
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- une « dérive du risque climatique » qui aura nécessairement des conséquences sur les bâtiments
- ; une augmentation du coût de l’assurance des catastrophes naturelles (la firme révèle, sur la base des données du Fonds central de réassurance, que ce coût a doublé entre 2010 et 2019) ;
- peut-être une reprise de la stabilité des prix de l’assurance automobile par les consommateurs afin d’atteindre l’équilibre financier.
→ Mauvaise nouvelle, donc, pour les consommateurs assurés qui peuvent encore choisir de participer au concours en bénéficiant de la résiliation d’un mois de LeggeHamon.